Jules, GOLIATH
Montreuil

Biography
Né en 1996, je suis des études générales tout en ayant en parallèle, une pratique du dessin et de la peinture. En 2014 je rentre aux Ateliers de Sèvres ou j’entreprends un travail de vidéos et de photos basé sur des décors miniatures. En 2015, j’entre aux Beaux Arts de Paris dans l’atelier de Tadashi KAWAMATA, puis l’atelier de Gôtz ARNDT ou je m’éloigne peu à peu de la vidéo, transformant mes décors en volumes d’installation. Je développe un attrait pour les dioramas et constructions d’architectures dystopiques, nourri en grande partie par de nombreux récits de science fiction littéraires et cinématographiques. Je développe par cette pratique des techniques tentant de camoufler par la peinture différents matériaux de récupération pour ainsi créer de nouveaux. Après une résidence de plusieurs mois au japon qui m’a grandement influencé dans la prise d’images et l’immersion dans des décors ultra urbains, j’expérimente le béton; matériel opposé aux maquettes légères et fragiles de carton que je construisait jusqu’alors. Je découvre alors le moulage, la taille et par extension la contreforme. Le béton devient rapidement mon matériel de prédilection, en ancrant mon travail dans une réalité nouvelle , opposée au procédé d’imitation et de falsification du matériel, et un questionnement sur la durabilité , et l’apréhension de nos disparitions.
Né en 1996, je suis des études générales tout en ayant en parallèle, une pratique du dessin et de la peinture. En 2014 je rentre aux Ateliers de Sèvres ou j’entreprends un travail de vidéos et de photos basé sur des décors miniatures. En 2015, j’entre aux Beaux Arts de Paris dans l’atelier de Tadashi KAWAMATA, puis l’atelier de Gôtz ARNDT ou je m’éloigne peu à peu de la vidéo, transformant mes décors en volumes d’installation. Je développe un attrait pour les dioramas et constructions d’architectures dystopiques, nourri en grande partie par de nombreux récits de science fiction littéraires et cinématographiques. Je développe par cette pratique des techniques tentant de camoufler par la peinture différents matériaux de récupération pour ainsi créer de nouveaux. Après une résidence de plusieurs mois au japon qui m’a grandement influencé dans la prise d’images et l’immersion dans des décors ultra urbains, j’expérimente le béton; matériel opposé aux maquettes légères et fragiles de carton que je construisait jusqu’alors. Je découvre alors le moulage, la taille et par extension la contreforme. Le béton devient rapidement mon matériel de prédilection, en ancrant mon travail dans une réalité nouvelle , opposée au procédé d’imitation et de falsification du matériel, et un questionnement sur la durabilité , et l’apréhension de nos disparitions.
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